(improvisé le 23 novembre 2018 vers 06h30am)
Quelle beauté cette vie de merveilles,
Sa resplendissante rougeur perçant l’obscurité de la
veille d’aujourd’hui.
Les jours sont longs et interminables, n’aboutissant
qu’aux nuits où le sommeil s’échappant de sa régénération compromise.
Le cerveau alimenté par un nettoyage hebdomadaire de
termes aussi futiles qu’inutiles, la transparence maintenant remplie de synonymes
honteux, prêchés dans la parole des vipères cloitrés entre quatre murs fermés.
Le bon semblant risque l’empêchement du déboire et le
poison propagé dans cet esprit sous l’emblème apprenante hypocritiquement
manipulé feignant la collaboration illusoire.
La masse s’empiffre en n’apprenant que le
renouvellement inquiet, mais éternel, continuant ainsi le gaspillage continuel
en appartenance avec les autres preneurs ainsi.
Que de merveilles nous attend lors de notre passage
auprès des besoins régressé, l’émergence qui profonde au travers de distorsions
de nos meurs et croyances aussitôt épongées, la promesse de thèmes que notre
nettoyage nous semble accueillir du moment dit.
Tu as changé mon pote, tu me dis que s’en n’est que
pour le meilleur, seulement lorsque le meilleur à venir a pris le bord du
changement renouvelé. Tes termes sont justifiés par la langue pour laquelle je
me suis questionné sa honteuse rébellion.
Les journées longues et
interminables remplies d’inutilités glorifiées par les prêcheurs des fonds
d’étages n’aboutissent qu’aux nuits ou le sommeil s’évapore dans l’espace d’un
clin d’oeil.